Le directeur artistique des Grands Ballets a choisi de faire appel une fois de plus au talentueux chorégraphe Edward Clug, résolument ancré dans la modernité, afin de refléter le tourment en filigrane de Carmina Burana, mais également et surtout le printemps, l’espoir et l’amour, thèmes centraux de l’œuvre, qui rejoint l’être humain dans sa dimension la plus viscérale, celle de son legs, et de sa pérennité.
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